Steam'i Yükleyin
giriş
|
dil
简体中文 (Basitleştirilmiş Çince)
繁體中文 (Geleneksel Çince)
日本語 (Japonca)
한국어 (Korece)
ไทย (Tayca)
Български (Bulgarca)
Čeština (Çekçe)
Dansk (Danca)
Deutsch (Almanca)
English (İngilizce)
Español - España (İspanyolca - İspanya)
Español - Latinoamérica (İspanyolca - Latin Amerika)
Ελληνικά (Yunanca)
Français (Fransızca)
Italiano (İtalyanca)
Bahasa Indonesia (Endonezce)
Magyar (Macarca)
Nederlands (Hollandaca)
Norsk (Norveççe)
Polski (Lehçe)
Português (Portekizce - Portekiz)
Português - Brasil (Portekizce - Brezilya)
Română (Rumence)
Русский (Rusça)
Suomi (Fince)
Svenska (İsveççe)
Tiếng Việt (Vietnamca)
Українська (Ukraynaca)
Bir çeviri sorunu bildirin
🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸______🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸
🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸
🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸
🌸🌸 𝓕𝓻𝓲𝓮𝓷𝓭𝓵𝔂 𝓰𝓾𝔂=)🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸
_ 🌸𝓦𝓮 𝓬𝓪𝓷 𝓫𝓮 𝓯𝓻𝓲𝓮𝓷𝓭𝓼 𝓯𝓸𝓻 𝓯𝓾𝓽𝓾𝓻𝓮 𝓰𝓪𝓶𝓮𝓼^_^🌸
__🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸
____🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸
_______🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸
_________🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸
___________🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸🌸
____________🌸🌸🌸🌸🌸🌸
_____________🌸🌸🌸🌸
_____________🌸🌸
☆┌─┐ ─┐☆
│▒│ /▒/
│▒│/▒/
│▒ /▒/─┬─┐
│▒│▒|▒│▒│
┌┴─┴─┐-┘─┘
│▒┌──┘▒▒▒│
└┐▒▒▒▒▒▒┌┘
└┐▒▒▒▒┌
░░░░░░░██████╗░███████╗██████╗░
░░██╗░░██╔══██╗██╔════╝██╔══██╗░
██████╗██████╔╝█████╗░░██████╔╝░
╚═██╔═╝██╔══██╗██╔══╝░░██╔═══╝░
░░╚═╝░░██║░░██║███████╗██║░░░░
░░░░░░░╚═╝░░╚═╝╚══════╝╚═╝░
Hier on est venu chez moi pour me tuer.
Mon tort dans ce pays c’est de croire aux asiles.
On ne sait quel ramas de pauvres imbéciles
S’est rué tout à coup la nuit sur ma maison.
Les arbres de la place en eurent le frisson,
Mais pas un habitant ne bougea. L’escalade
Fut longue, ardente, horrible, et Jeanne était malade.
Je conviens que j’avais pour elle un peu d’effroi.
Mes deux petits-enfants, quatre femmes et moi,
C’était la garnison de cette forteresse.
Rien ne vint secourir la maison en détresse.
La police fut sourde ayant affaire ailleurs.
Un dur caillou tranchant effleura Jeanne en pleurs.
Attaque de chauffeurs en pleine Forêt-Noire.
Ils criaient : Une échelle ! une poutre ! victoire !
Fracas où se perdaient nos appels sans écho.
Deux hommes apportaient du quartier Pachéco
Une poutre enlevée à quelque échafaudage.
Victor Hugo, L’année terrible
il a raison