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Mon premier jeu sur la PS5 et certainement le meilleur, l'univers pc en avais bien besoin.
Le portage est irréprochable. Le jeu a une bonne optimisation et comprend toutes les technologies nécessaires, les graphismes sont spectaculaire et avec le HDR c'est du caviar pour les yeux.
L'histoire est bien écrite, le système de combat est riche et bien conçu et offre un défi intéressant. Le rythme entre les cinématiques et les phases d'action est bien dosé, évitant l'ennui. Le monde est cohérent, les cartes sont bien travaillées avec des secrets et des énigmes sans excès.
Le folklore scandinave à la sauce God of War est une pure merveille. Le doublage en VO et VF est exceptionnel. Le bestiaire est bien étoffé, et le travail sur les animations est incroyable. Ce jeu est une véritable réussite, comme une bonne recette de mamie.
Le savoir-faire de Santa Monica est indéniable.

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Ramenez la fille, et nous effacerons la dette.
Ainsi débute l'enquête de Booker DeWitt, ancien détective de l'agence Pinkerton, qui s'embarque dans une aventure suscitant de profondes interrogations sur les univers parallèles, sur la religion, le racisme et l'esclavage au sein d'une socièté fictive.
Le scénario, captivant et original, explore des thématiques complexes,
offrant une histoire à la fois surprenante et bourré d'intrigue qui éclaire sur les origines de la licence.
La conclusion est particulièrement marquante, incitant à une introspection profonde.

Le scénario et la direction artistique ont été minutieusement élaborés, conférant au jeu une réalisation exceptionnelle et une atmosphère globale qui combine habilement évangélisme sectaire et racisme assumé au sein d'une société dystopique riche en références à l'Amérique du début du XXe siècle. À mon sens, il s'agit du meilleur Bioshock à ce jour, car il aborde de manière subtile des sujets délicat encore largement tabou dans la société américaine, et pour d'autres raison que je vais expliquer.

Columbia, cité flottante du jeu, se révèle être un chef-d'œuvre absolu en termes de conception artistique, colorée, animée et grouillante de vie à chaque coin de rue. Son environnement foisonnant permet d'en apprendre davantage sur cet univers en prenant le temps d'écouter les habitants ou les dialogues bien écrits des voxophones, les cinéscopes sont réalisées avec talent et respectent à merveille les codes des débuts du cinéma. La musique orchestrale, le jazz et le blues de l'époque sublime parfaitement l'ambiance du jeu tout en renforçant l'intensité émotionnelle des différentes scènes. Enfin, le doublage est excellent grâce à des voix justes et expressives qui insufflent vie aux personnages.

Le jeu combine des éléments de tir à la première personne avec des genres de pouvoirs appelés "Toniques" dans cet opus, qui évoque quelque peu les élixirs des charlatans de l'époque, certains étant peu intuitifs à utiliser en action. On a souvent tendance à recourir aux mêmes une fois améliorés, privilégiant ceux avec lesquels on se sent le plus a l'aise. Les affrontements sont intenses et gratifiants, bien que sujets à une certaine répétitivité,
les Aéro-tram disséminer aux quatre coin de la ville sont une belle trouvaille en terme de conception et rend les combat plus dynamique. À un niveau de difficulté élevé, les ennemis deviennent de véritables éponges à balles donc il vous faudra tiré la tête ou les points faible. Les capacités d'Elizabeth ajoutent une dimension stratégique intéressante qui peut bouleverser l'issue d'un combat perdu d'avance.L'absence regrettable d'un aspect infiltration similaire à ses prédécesseurs est un manque flagrant.

Le personnage d'Elizabeth a été méticuleusement animé, lui conférant ainsi une crédibilité et un attrait indéniables. Il est remarquable de constater qu'aucun personnage non-joueur n'avait agi de la sorte dans un jeu auparavant. Elizabeth déambule avec aisance, émerveillée par tout ce qui l'entoure, découvrant pour la première fois son monde en même temps que le joueur ce qui renforce l'empathie que l'on peut lui porté. Elle sais aussi ce rendre indispensable découvrant des objets utiles tels que des munitions ou de l'argent, tout en observant attentivement son environnement. Elle interagit avec Booker en posant des questions pertinentes sur les événements se déroulant autour d'eux, offrant ainsi aux joueurs l'opportunité d'approfondir leur connaissance de l'intrigue. Certains de ces échanges peuvent être manqués s'ils ne sont pas détectés avec vigilance, soulignant ainsi l'importance de rester attentif à tous les aspects du monde virtuel qui nous entoure.

En somme, ce jeu se présente comme une œuvre d'art hybride entre un tableau de Monet et un film Pixar. Il offre une expérience unique et mémorable grâce à son histoire captivante et complexe, son univers fascinant ainsi que ses personnages mémorables, constituant ainsi un incontournable pour les amateurs de jeux à ambiance. Malgré quelques faiblesses subjectives dans ça jouabilité, il s'impose comme un chef-d'œuvre du genre.
Il convient de reconnaître que le titre en question n'a pas pris une ride en plus d'une décennie, demeurant nettement supérieur à la production contemporaine, tant sur le plan du fond que de la forme. Le graphisme, grâce à ça direction artistique, est resté inchangé et impeccable. La maîtrise parfaite de l'Unreal Engine 3 est indéniable.
J'exprime ma reconnaissance à Ken Levine et son ancienne équipe Irrational Games pour avoir donné vie à cette œuvre.

Un jeu doté d'une ambiance exceptionnelle, mais présentant d'importantes lacunes en termes de jouabilité et de conception de niveaux.
Le placement des ennemis est particulièrement mauvais, surtout dans le monde pseudo-ouvert, l'aspect infiltration est maladroit et peu intuitif, de plus les robots en extérieur réapparaissent rapidement car des droides réparateurs interviennent constament pour leur venir en aide. Toutefois, il est possible de désactiver temporairement les défenses et les caméras d'un secteur. Bien entendu, tout ceci ne s'applique pas aux ennemis affecter par les bourgeons, qui se révèlent plutôt cool et agissent davantage tels des zombies assoiffés de chair fraîche.

La construction des niveaux extérieurs est déplorable, générique, mal agencée, avec une surabondance d'éléments visuels à certains endroits et une insuffisance flagrante à d'autres, les environnement et les batiments manque de variété et son plutôt répétitif ce qu'y rend l'exploration peu intéressante.
A l'exterieur des différent complexes on ne souhaite qu'une chose en finir rapidement.
L'infiltration est bâclée, tout comme les combats, rigides et dépourvus de toute stratégie, les boss sont plutôt pas mal et vous donneront du fil a retordre.

Les laboratoires et autres complexes sont intéressants avec une construction intelligente et certain sont pourvus d'énigmes qui ferais presque penser a du portal, mais une fois à l'extérieur, c'est d'une misère infinie. Ils auraient mieux fait d'opter pour un jeu plus linéaire, à l'instar de Bioshock Infinite, dont ils s'inspirent sur bon nombre d'aspects pour le meilleur et pour le pire. On retrouve également des traces de Prey, mais malheureusement, leur tentative de copié ces différents jeux ne le rend pas meilleurs. C'est regrettable, car la direction artistique est plutôt agréable, tout comme l'histoire, les dialogues et la musique viennent renforcer l'ambiance générale.
Même le doublage en français est appréciable, avec son humour décalé. Par contre les effets sonore son pauvre, par moment il manque beaucoup de bruitages.

Graphiquement c'est jolie et bien optimisé, avec du DLSS et du Frame-Gen le jeu peu atteindre facilement 120ips et même plus sur une 4080 en 1440p, l'unreal 4 rend super bien. On regrettera toutefois l'absence de HDR natif les ombres sont un peu trop sombre et la colorimétrie en exterieur est un peu désaturer comparé aux intérieur heureusement le RTX HDR de nvidia fait le taff et le fait super bien merci a nvidia pour ce bijou, mais je chipote.
Cependant, toutes ces qualités ne suffisent pas, et je me demande si j'aurai la motivation d'aller jusqu'au bout de l'aventure, tant j'ai envie d'éteindre le jeu dès que je m'aventure en dehors des complexes.

Aucunes tech d'optimisation pas de dlss pas de frame gen pas de reflex
un jeu qui aura du mal a tenir le 120ips en ultra
il peux descendre a 45 ips au plus bas avec une 4080 et en 1440p quand il y a beaucoup d'ennemis. Heureusement il ya lossless scaling le saint sauveur des saint joueurs.