Análises recentes de Letarsier

Il y a une bonne vingtaine d'années, les DLC n'existaient pas encore. A la place, il y avait les extensions, dont le but était d'ajouter suffisamment d'intérêt pour donner envie de faire une nouvelle partie.

Eh bien, the Iron Rig, c'est exactement cet esprit-là.

Il y a certes une mini-campagne composée de quelques missions, lesquelles ajouteront une poignée d'heures. Mais, là où les choses sérieuses arrivent, c'est que le joueur aura la possibilité d'améliorer totalement son équipement, et de pouvoir aller débusquer les quelques dizaines de nouvelles espèces marines ajoutées elles aussi, avec justement son nouvel attirail.

Et ça, ça donne vraiment envie de replonger dans ce jeu, et ce même si l'aspect narratif n'est PAS le point fort d'Iron Rig. Si c'est justement ce que vous recherchez, réfléchissez avant d'acheter.

Mission accomplie, ça faisait longtemps que je n'avais pas retrouvé cette sensation !


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UN tableau en DAO avec 100 chats mis au pif, voilà ce qu'il en est, et le DLC est du même tonneau. Objectivement, il est préférable de payer pour un vrai créateur qui passera du temps et fera les choses dans les règles de l'art félin, plutôt que cette soupe commerciale à la chaîne.

Biomes was already developped in 2023, meaning it was completely funded by the EA customers since a long time. Hence, the DLC being good and all, 10 euros is overpriced, even with the loyalty discount.

I guess Hooded Horse wants its share now, eh ?

Certes, les tableaux sont grands, mais le manque d'interactions dans les décors se fait très vite sentir. Mention moyen.

Tous les ingrédients de la comédie romantique américaine dont vous êtes le héros, ou plutôt l'héroïne, sont réunis mais voilà, on garde un goût de trop peu.

Vous incarnez une dev la tête dans le guidon de sa carrière, qui retourne faire une pause dans le petite ville de son enfance pour remplacer son facteur de père, parti se faire les vacances de ses rêves.

Qui dit ville, dit habitants, qui dit facteur, dit conduite et monde, et qui dit enfance dit amis.

Et voilà, le décor est planté, à la fois pour le meilleur...et pour le moins meilleur.

Sur la ville, les décors et l'ambiance, rien à redire, je me suis régalé, et en prime ça m'a rendu nostalgique de mes voyages dans une amérique profonde que j'aime. Sur le scénario, je n'ai pas grand chose à reprocher dans les grandes lignes, et à la fois la nostalgie et la difficulté de renouer les liens de l'adolescence sont bien restitués, et c'est un des bons points bien exploités par le dev.

En ce qui concerne la conduite, on a le choix entre la manuelle, et l'automatique via des points de passage. Bon, autant le faire en manuel, ça met un peu d'action. En ce qui me concerne, si elle est correcte en soi, le souci réside dans un angle de caméra par défaut un poil trop bas, et pas moyen de corriger ça : retour à l'original quelques secondes après l'avoir modifié. C'est un peu frustrant.

Le métier de facteur en soi n'est pas bien compliqué : vous avez des lettres et des colis à distribuer en vous aidant d'une liste et d'une carte. C'est impossible de se tromper, d'ailleurs.

Et enfin on a les habitants, et leurs histoires dans lesquelles on s'impliquera, et c'est malheureusement là que le jeu montre ses limites...

Au total, on interagira avec une dizaine de personnes, pas plus. J'aurais aimé croiser plus de piliers de nos vies, avec le pasteur, l'instit, le maire, plus d'habitants et donc plus de tranches de vie, d'histoires, d'implication dans une communauté et de profondeur à l'ensemble, démontrant que même sans nous le temps fait son oeuvre, face à notre culpabilité, à peine effleurée dans le scénario, mais non, il nous aura manqué cette petite touche à la Stephen king !

Et c'est bien ça le plus frustrant, d'autant que le décor est planté, les bâtiments sont là !! J'avoue ne pas m'expliquer une telle tiédeur avec un prix qui laisse tout de même augurer d'un contenu plus robuste, d'autant que les ventes ont été correctes et que les critiques sont élogieuses.

Et quant à l'ost, elle est à l'image du contenu : bonne, mais trop courte. Quel dommage là aussi !

Alors, évidemment, je recommande Lake pour les premiers points évoqués mais je suggère de le prendre en solde en raison d'un contenu qui aurait réellement contribué à en faire un excellent jeu s'il avait été étoffé au fil des mises à jour.

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Problèmes techniques, à l'instar du téléphone qui lagge et des fonction inopérantes, et narration très inégale font que cet épisode devra lui aussi être retravaillé sous peine de mettre en danger la suite de la série.
Hormis quelques arcs hilarants, comme celui du dîner, tout est trop manichéen et notre héros en est réduit à chercher l'approbation de tout le monde. L'ensemble part dans trop de directions et de contes à dormir debout pour avoir un semblant de crédibilité et de continuité avec les précédents épisodes.

Qui dit Maestro Cinetik dit mécaniques bien huilées, et Jey's Empire ne fait pas exception.

Dans cette simulation aussi efficace qu'asymétrique, vous devrez tâtonner pour identifier vos ennemis, les combattre, et être capable de vous adapter aux nouvelles menaces avec des moyens assez limités au travers d'actions qui utiliseront les agents à votre disposition. De même vous devrez éviter de commettre trop d'erreurs afin d'éviter de vous faire virer, tout en restant dans les clous de vos convictions morales et éviter de disjoncter, également synonyme de fin de partie. D'ailleurs, les deux fins peuvent se produire très rapidement si vous manquez de vigilance.

Donc, plusieurs méthodologies à acquérir selon les cibles qui se présentent (ou qui vont seront imposées), des dossiers secrets à utiliser judicieusement pour faire du chantage qui ne dit pas son nom, créer une paranoïa dans la société afin de vous rendre indispensable, et bien sûr taper à tour de bras sur les communistes dans l'Amérique des années 50-60. Un côté jubilatoire, donc.

En revanche, je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer quelques petits soucis en jouant. Tout d'abord, l'interface ne se met pas à l'échelle lorsqu'on joue en 4k et devient à peine lisible. Rien de méchant, car jouer en 2K n'altère en rien les graphismes du jeu.

Par ailleurs, je pense que MC devrait faire effectuer une relecture des textes, car les coquilles et typos sont relativement fréquentes. Là non plus, rien de méchant, mais c'est le petit coup de polish final à un jeu qui mérite d'être davantage connu.

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Ajoute un personnage au jeu de base, et une petite touche d'exotisme. Dispensable, mais permet de faire davantage de combos, donc à prendre uniquement si en solde.

Ce titre fait partie des titres les plus improbables qu'il m'ait été donné de voir.

A la fois VN, JRPG et TRPG, ce titre chinois respecte bien les codes de l'exotisme vu par les asiatiques. L'Histoire est trifouillée, réécrite, embellie, mélangée, mais sans rester trop indigeste, pour peu qu'on soit habitué au concept.


Pour ce qui est des mécaniques de jeu en combat, elles restent banales, à l'exception de 2 cartes bonus tirées en début de bataille, et dont il faudra en garder une. C'est un truc tout bête, mais ça sort le jeu d'une certaine monotonie, en contraignant le joueur à composer son équipe selon le bonus obtenu. Simple, mais efficace.

Hors combat, on remarque plusieurs factions avec lesquelles les relations vont évoluer. Cette mécanique est uniquement cosmétique dans le sens où il n'y a pas d'antagonisme entre elles qui pourrait vous pénaliser, et ne vise qu'à faire effectuer les quêtes secondaires, et ainsi débloquer objets et talents à acheter pour améliorer et ravitailler vos troupes.

Pour les graphismes, pas de surprise non plus : les illustrations sont agréables à regarder et bien travaillées, la pseudo 3D et les cartes sont très basiques. A noter un zoom parfois insuffisant qui crée un certain fouillis quand plusieurs unités sont imbriquées, ainsi qu'une caméra sans aucune rotation. C'est regrettable, mais vu l'âge du jeu il y a peu de chances que ce soit remédié. Idem pour les missions d'escarmouches, utiles pour gagner en niveau: pas assez de cartes différentes, et on est vite lassé de celles présentes.

En conclusion, je ne suis pas certain que le jeu vaille le prix catalogue tant il a du mal à se démarquer de ses concurrents dans ses fondamentaux, mais sautez dessus quand vous le verrez en solde, car vous passerez facilement 20-30 heures sur le titre.

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Jeu dans la continuité de la série, donc pas de mauvaise surprise, et la qualité reste constante. Le manque d'achèvements steam, que certains commentaires semblent regretter, ne me pose aucun problème.

En revanche, j'aimerais cependant que les prochains soient plus étoffés, en ajoutant plusieurs tableaux, plus petits, en complément, déblocables sous conditions, quitte à ce que le prix de base soit plus élevé. Cela constituerait une récompense bien meilleure que les achèvements.