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Recent reviews by EvZ_RedBull

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1 person found this review helpful
9.8 hrs on record (5.1 hrs at review time)
Early Access Review
Très bon jeu de gestion, Plus vous évoluerez avec votre entreprise, plus il sera difficile de la gérer jusqu'à ce qu'elle soit stable dans sa production. Beaucoup de possibilité de travail comme le dev de composant pour des grandes entreprises et pouvant aller jusqu'à la création de votre propre entreprise, vous pouvez aussi acheter des actions chez des entreprises déjà populaire, N'hésitez surtout pas à prendre un mods dans le workshop qui vous permettera de mettre les vrais marques dans le jeu ! Pour conclure le jeu vaut largement sont prix et il est encore en constant évolution, le jeu nous cachera donc sûrement des petites fonctionnalités surprises à l'avenir ! JE RECOMMANDE !
Posted 18 August, 2017.
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3 people found this review helpful
56.3 hrs on record (11.3 hrs at review time)
Early Access Review
Ce jeu a un potentiel formidable, il est bien stressant mais aussi très plaisant.
Il reste beaucoup de travail pour passer de l'early access à la version finalisée mais je le vois comme une opportunité de suivre les évolutions et de redécouvrir itérativement le jeu.
Posted 23 July, 2017.
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10 people found this review helpful
18.4 hrs on record (16.0 hrs at review time)
Basé sur la franchise de film slasher, Friday the 13th : The Video Game, est un survival-horror où le joueur incarnera soit Jason Voorhees, le harceleur, soit un campeur qui essaye de survivre à cette nuit terrifiante. Le multijoueur consiste à une confrontation entre 7 conseillers et le fameux Jason. Malgré le fait que Jason a toutes les chances de tueur de son côté, les autres pourront l'avoir avec une condition de victoire épique réalisable seulement avec un travail d'équipe efficace.

Niveau optimisation du jeu :
Assez bonne optimisation, le jeu ne demande pas une enorme config ( voir config requise sur la page du jeu ), il y a des beau graphismes ainsi qu'une fluidité stable.

Intérêt pour le jeu :
Plus vous jouerez des heures à F13 plus vous aurez envie de up vos personnages au plus haut, de up en level, ce qui vous permettra également de débloquer de nouveaux personnages et des tenues etc..

En bref, très bon jeu qui allie le stress et le suspense.
Amateur d'horreur ce jeu est fait pour vous !

( Vous vous posez peut-être des questions sur le prix, il y aura un mode histoire qui débarquera d'ici l'été 2017 ).
Posted 28 May, 2017. Last edited 28 May, 2017.
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1 person found this review helpful
10.5 hrs on record
Early Access Review
Un peu répétitif sur les événements et la création des vidéos, il y a certains sons aussi qui peuvent être agaçants par exemple lors de la création d'un jeu ou les discours lors d’événements, hormis ses points noirs c'est un bon jeu.
Posted 24 November, 2016.
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14 people found this review helpful
1 person found this review funny
483.9 hrs on record (12.9 hrs at review time)
Le principe du jeu vous le connaissez, un joueur psychopathe contre 4 joueur survivant tout cela enrobée d'une bonne grosse mise en scènes léchée dans le délire des films "Vendredi 13", "Scream", "Souviens-toi l'été dernier", "Massacre à la tronçonneuse", etc.

Donc, je parlerais plutôt du côté survivant étant donnée que c'est mon préférés (jai tester les deux).

Gameplay:
En tant que survivant votre but seras d'activer 5 générateurs. Il y en a 7 éparpiller dans "l’arène". Il vous couteras quelques minutes de réparer entièrement un générateur. Pendant le temps de réparation des test de réflexes viendront vous challenger ( un indicateur tourne dans un cercle et vous devrais l'activer au bon moment. Une fois activer, votre position est trahit et tout le monde, tueur y compris connaitras la position du générateur pendant 3 secondes.
Vous savez que le tueur est pas loin quand un battement de cœur se met au premier plan dans la musique, plus il bat vite plus le tueur est proche, et plus il est proche, plus une musique angoissante s'intensifie. A vous de garder votre sang froid, ou de courir a fond dans les bois, mais les poursuites sont très réussit. Une lumière rouge du tueur vous indiqueras qu'il est juste derrière vous, en plus de la musique, des battement de cœur, et des cloches flippantes a souhait!

Chaque étapes de la capture possède son propre gameplay, vous toujours vous en sortir en rampant au sol quand le tueur vous à mis 2 coups. Si il vous chopent sur son épaules vous pouvais vous échapper en remplissant une barre de lutte! Mais si mal grès tout il vous plante sur un crochet, et que votre vie diminue, vous pouvais toujours tentez de vous échapper! Soit un ami vous aide, soit vous tentez de vous décrocher au risque de perdre de la vie, jusqu'à épuisement.
Il y a toujours un espoir de s'en sortir, et même quand au dernier moment le tueur vous attrape, l'intensité de la frayeur mêlée à toute l'énergie que vous mettez à vous enfuir, vous récompense par une expérience réaliste, intense et brillamment fun!

Des points de sang récompenses les survivants à chaque fin de parties en fonction de leur actions. Classique. Cela permet d'acheter des objets et des consommables pour vos survivant ou tueurs. Chaque survivant gagne des niveau et des compétences qui lui permettent de réparer/Saboter/Soigner plus vite ces camarades, ou de détecter mieux le tueur, etc.

FeedBacks:
Le jeu est dépourvus d'interfaces. Pas de vie, pas de barre de sprint, pas de menu d'outils useless. Non. Seulement la vision du jeu, pour une immersion complète, un choix judicieux. Le seul bémol serait l'apparition des tests de réflexes qui, vous demander d'appuyer sur la bonne touches au bon moments sont assez déconcertants au début, mais comme on dit dans le jeux-vidéos "Easy to learn, Hard to master."

Direction Sonore:
La musique ainsi que les bruit d'ambiances de la foret sont cauchemardesque-ment cool! Réaliste, Immersifs, vraiment ont s'y crois! Chaque action est accompagner d'un son approprier au contextes, que demander de plus?

Direction Artistiques:
Graphiquement très beau, le jeu tourne avec le moteur Unreal Engine 4 si je ne me trompe pas, qui à déjà largement fait ces preuves (Adrift, Eve: Valkyrie, Gears of War 4, etc.).
La DA est soignée. Vous êtes généralement dans une foret entourées de quelques bâtiments / Cabanes, avec parfois des champ de maïs selon la carte ( 3-4 différentes il me semble) dans un style réaliste/sombre. Il faut ajouter à cela des effets de brouillard et un clair de lune qui différent entre chaque parties.

Pour Conclure:
Le prix (20 euros) est plus que raisonnable quand on voit ce que coute le développement d'un jeu. Qui plus est, un BON jeu dans ce cas-là comme on en voit pas tout les jours. Si le jeu n'est pas hyper original dans sa manière d’aborder les choses, il nous livrent un gameplay fort, construit, finis, équilibrée, fun et re-jouable une infinité avant de s'en lasser en vue de l’intensité de l’expérience. Je le conseil les yeux fermés, et je ne suis pas le genre à lâcher 20 boules dans tout les petits jeu qui passe, mais celui-ci réussit clairement le parie de son expériences essentielles selon moi. Au plaisirs de vous y retrouver, pour vos plus grandes frayeur! :D
Posted 22 August, 2016.
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7.5 hrs on record (2.9 hrs at review time)
Early Access Review
Ce jeu est un vrai régale. De très grande possibilité de construction, il n'y à plus que votre imagination pour mettre ça en place (et de la logique aussi ! ) le jeu vaut vraiment sont prix, à acheter les yeux fermer
Posted 15 March, 2016.
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460.7 hrs on record (288.1 hrs at review time)
C'est tellement basique comme gameplay mais tellement fun !

GMod est un véritable must-have qu'il faut vraiment essayer ! Seul ou en multi (mais c'est tout de même préférable d'y jouer en multi) Gmod promet des parties endiablés de... ce que vous voulez ! Construire, détruire, tout est possible!
Posted 30 January, 2016.
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672.1 hrs on record (321.1 hrs at review time)
Surfing on a Rocket

Difficile de laisser ses oreilles passer à côté de Rocket League depuis sa sortie à l’été 2015. On l’a vu, lu et entendu mais rappelons-le : Rocket League c’est l’association des beauferies en puissance : le football et les voitures bien tunées avec plus ou moins de goût. Le principe est simplissime. Dans des matchs qui vont du 1 vs. 1 au 4 vs. 4, les joueurs contrôlent des véhicules qu’ils vont devoir faire foncer dans le ballon pour marquer des buts à l’équipe adverse.

Vos voitures, vous pouvez les peinturlurer, modifier leur couleur, ajouter de petits drapeaux, des chapeaux, les jantes, la couleur ou le type de boost… Tout cet attirail du parfait kéké sera disponible au garage. Sachez néanmoins que ces modifications n’ont d’autres valeurs qu’esthétiques et ne changeront en rien les capacités en match. Idem pour les DLC (Batmobile, DeLorean), qui ne serviront qu’à arborer votre puissance financière ou votre « fanboyisme ».

Autant vous dire que, vous l’aurez bien compris à la lecture des paragraphes ci-dessus, je ne suis pas un grand amateur de l’image que Rocket League est supposé renvoyer de ces sports ou activités. Les jeux de voiture, sans être ma passion, peuvent être addictifs, tout comme les jeux de foot/sport, desquels j’ai du mal à me détacher durant des semaines avant de les laisser de côté. Mais laissons ces préjugés initiaux, les bonnes critiques pointaient souvent qu’il fallait y jouer pour en comprendre, sinon le génie, du moins l’addiction. Ajoutez-y un ami qui m’a un peu poussé à prendre le jeu pour s’éclater bêtement pendant des congés, et bingo, je passe à la caisse (ho, ho).
Tout ce que vous auriez pu lire est juste. On commence par un match d’exhibition pour s’approprier les commandes, on peut éventuellement se lancer dans une carrière pour se frotter à l’ordinateur et débloquer les trophées du mode solo. Enfin, on peut aussi directement se lancer dans l’aventure en ligne et ne jamais affronter l’IA. Mais de mon côté, le jeu multi en ligne m’effraie. Il a toujours développé une forme de complexe d’infériorité et la peur d’être le boulet de l’équipe, et donc de gâcher mon plaisir. Donc oui, moi je commence par me faire la main avant d’oser aller vers d’autres joueurs. Quoi qu’il en soit, on se rend vite compte que ce mode de jeu est très limité et ne présente que peu d’intérêts, en-dehors de cette familiarisation et de l’envie de compléter sa collection de succès.

Va donc pour le mode en ligne, où l’on se frotte à des joueurs autrement plus nerveux et talentueux. Mais pas forcément, le niveau de jeu moyen étant assez accessible, des bots arrivant même parfois pour remplacer les joueurs qui quittent rageusement une partie perdue d’avance. Alors oui, on se prend parfois des roustes sévères, mais on peut aussi rouler sur un adversaire, et en général on se situe dans un entre-deux. On peut soit jouer avec d’illustres inconnus qui reconnaîtront (ou non) vos talents supérieurs, soit avec des amis qui n’hésiteront pas à vous mettre plus bas que terre ou à vous encenser au micro, ou bien, là encore, faire un peu des deux selon les configurations de jeu.

Ces configurations, il faut en dire un mot, tant l’expérience diffère de l’une à l’autre. Un peu comme dans un jeu de plateau un peu stratégique, plus il y a de joueurs, moins il y a de contrôle, plus le chaos s’installe. Précisons ici que la taille du terrain n’est pas modulée par ce critère, et que huit voitures sur un terrain, c’est forcément différent de deux. Le duel ne pardonne aucune erreur, il faut être au four et au moulin sans cesse. Le match par binôme est lui aussi assez stratégique, certains préférant opter pour un attaquant/un défenseur quand d’autres privilégient l’offensive, ou essaient de marier les deux. Autre tactique dans le match à trois contre trois, où la défense permet des attaques en binôme plus construites et moins risquées, quitte à se prendre un contre qui irait vers l’adversaire resté en avant « au cas où ». Le quatre contre quatre, lui, permet aussi de nouvelles choses, mais dans l’ensemble, on peut dire que c’est le dawa.

Le chaos n’est pas exclusif à cette configuration. C’est fréquemment qu’on fait un peu n’importe quoi, qu’on pique la balle (ou un but) à un partenaire, qu’on marque contre notre camp, qu’on fasse un centre aux adversaires qui ne manqueront pas d’en profiter… Il faut ici revenir sur les sensations de jeu pouvant expliquer ce chaos maîtrisable. Rocket League fait partie de ces jeux immédiats. Les premières minutes permettent d’en comprendre tenants et aboutissants, les contrôles étant au fond très limités : avancer, reculer, tourner, sauter, utiliser le boost que l’on récupère sur le terrain clos. Celui-ci est un sorte de bulle, dans laquelle on peut sans problème rouler sur les parois. Comme dans de nombreux jeux de sport, cette formule simple trouve toute sa richesse dans la combinaison de ses ingrédients. Bien sauter en utilisant le boost permet par exemple de « voler » pour prendre la balle à des hauteurs himalayennes, marquant un but que n’aurait renié ni Olive, ni Tom.

Utilisons le terme consacré : « easy to play, hard to master », il y a une réelle courbe de progressionqui explique en parties les formidables dérouillées qui vous attendent et qui n’ont plus grand-chose à voir avec la chance. Un jeu taillé pour l’eSport, où finalement, la compétence seule apportera la victoire (encore une fois, nulle différence entre véhicules et accessoires). La chance n’est plus le fruit du hasard mais se construit. Cette maîtrise s’acquiert tant dans les stratégies de jeu que dans la précision et l’association des quelques contrôles. Il va de soi que, quel que soit le mode de jeu, jouer avec les mêmes personnes permet la réelle constitution d’une équipe avec ses habitudes et ses dynamiques, là où les équipes faites d’inconnus auront plus de mal à se coordonner, même si l’association de fortes individualités peut révéler de belles surprises.

L’addiction se révèle, comme dans les jeux de sport, très forte. Que ce soit en dilettante ou dans une optique plus compétitrice, on enchaîne les matchs (de cinq minutes) et sans qu’on s’en soit rendu compte, on tutoie les trente heures de jeu. Ce qui est beau, c’est qu’arrivé là, on se rend compte qu’on peut encore tellement progresser ! Sans oublier la possibilité de jouer en local entre potes, ce qui vous garantit une soirée réussie et de la grosse éclate, avec un peu de mauvaise foi et d’acharnement bon enfant.

L’ambiance générale l’est, d’ailleurs, bon enfant. On aurait pu craindre des insultes à tire-larigot quand on rate une balle ou qu’on n’arrive pas à arrêter la balle, cela reste bien heureusement rare. Preuve que l’immédiateté du gameplay n’entraîne pas nécessairement celle des réactions des joueurs. Un petit chat est là, avec des commandes automatisées pour parler stratégie en équipe (bof, pas vraiment le temps), féliciter ou encourager ses partenaires ou adversaires, voire rager un peu dans des insultes prédéfinies. Il y a bien quelques ragequits, mais ce n’est pas la norme, et c’est tant mieux.

Rocket League est donc bien l’incontournable que tout le monde défend. Le contrat débile de départ est parfaitement respecté et on s’y amuse comme des petits fous. On peut la jouer grosse éclate bordélique ou compétition acharnée avec une technique qui s’affine toujours : Rocket League s’offre à tous les types de joueur. Prenez le pad ou la manette, et vous verrez qu’il est difficile de les lâcher, tant l’addiction s’empare de vous, d’autant plus si vous jouez avec des potes, physiquement présents ou non.
Posted 5 August, 2015. Last edited 22 July, 2017.
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