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6.3 hrs on record
Dawnmaker is a nice city/deck builder crossover, which feels like you're playing a board game, but with automation to compute the resources and score.

The game looks nice, there are many different buildings to try. A campaign can feel a bit too long if you start to fail a critical mission and have to go the way around, but at least you can upgrade your deck between each mission, so it's not all wasted.

What's fun is that some mechanics play differently that in other deck builders. For instance, often reducing the size of your deck is very positive, because you reduce the randomness of the draw and can always draw your best cards. Here, every time you shuffle your deck, the game gets harder, so you have to carefully balance the size of your deck for it to be efficient, without making it too short.

All in all a good experience! Worth the 10€.
Posted 7 September, 2024.
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5.2 hrs on record (0.4 hrs at review time)
A nice platformer reminiscent of Super Meat Boy & co. I feel it’s a bit easier though, especially to grab the gold medals, which are not really challenging.
The movement is really satisfying, and the graphics are nice to my eyes, and everything is clearly readable thanks to good contrast between the obstacles and the character.
Posted 7 November, 2023.
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7.2 hrs on record
Portal Stories: Mel est un mod de Portal 2, sorti en 2015 par une petite équipe indé. On incarne Mel, une femme qui vient tester dans les locaux d'Aperture Science un nouveau prototype. Évidemment, ça ne se passe pas comme prévu, et on doit assez rapidement progresser à travers les décombres d'Aperture Science muni du Portal Gun, classique !

Malgré tout le temps que j'ai pu passer sur Portal 1 et 2, ainsi que le mod Prelude du premier opus, j'ai été bloqué par certains puzzles, et ils pouvaient s'avérer très malins ! Ça reste du Portal tout craché. C'est d'ailleurs tellement du Portal 2, qu'on pourrait croire que Valve est à l'origine de ce mod. Portal Stories: Mel possède une histoire bien travaillée, qui se déroule entre Portal 1 et 2, et n'hésite pas à réutiliser des personnages existants tels que Cave Johnson, fondateur d'Aperture Science, tout en en introduisant des nouveaux. La qualité globale du mod est impressionnante. C'est très joli, les environnements sont détaillés, l'histoire est bien narrée (avec doublage intégral, et il y a beaucoup de dialogues !), et on alterne entre puzzles et exploration fréquemment.

En bonus, l'OST du jeu est unique, et imite très bien ce qu'avait fait Mike Morasky chez Valve, on s'y croirait ! On dirait vraiment un jeu officiel de Valve.

Au final, ça reste du Portal 2, et depuis, on a eu le droit à d'autres très bons jeux de FPS puzzle. Mais si vous avez encore envie d'un peu de Portal, foncez !
Posted 2 January, 2021. Last edited 11 February, 2021.
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30.8 hrs on record
Did' - Disco Elysium est une œuvre d'art indé.
Béret - Ça y est, tu recommences, tu te prends pour un critique d'art maintenant ?
Conceptualisation - C'est vraiment une œuvre d'art, de l'art pur, avec un parti pris, une direction claire vers laquelle le jeu va, qui peut rebuter certains joueurs, mais qui va charmer les autres.
Did' - On commence le jeu en slip, avec une gueule de bois monstre, une amnésie totale et un appartement ravagé. On ne joue pas un héros classique, on joue un raté.
Béret - Hey, c'est ta biographie ?
Did' - ... Un flic raté, qui a perdu son badge et son arme.
Did' - Il est tellement ravagé que d'autres personnalités et même des objets vont lui parler et commenter la situation.
Empathie - Pauvre homme.
Did' - Mais ce jeu est aussi une œuvre d'art par son parti pris graphique. Les vignettes des personnages sont peintes et stylisées. Les personas du protagoniste sont carrément surréalistes et parfois uncanny.
Conceptualisation - Le style le plus proche serait l'expressionisme.
Encyclopédie - Uncanny : étrange, inquiétant, perturbant.
Did' - Disco Elysium n'hésite pas non plus à parler politique, sujet peu inclus dans les jeux, et même souvent évité, de peur de s'aliéner d'une partie des joueurs.
Did' - Et tout ça autour de dialogues très bien écrits, très touffus, avec des personnages uniques et profonds. Et il ne faut pas uniquement se contenter de lire passivement, on a souvent plusieurs options, et certains choix sont importants et peuvent avoir des répercussions plus tard dans le jeu.
Suggestion - Plein d'opportunités de manipulation !
Did' - Ces choix, couplés avec les jets de compétence qui peuvent drastiquement changer le cours d'une situation, vont créer une histoire qui sera la vôtre.
Volonté - Et pas de recharge de sauvegarde sur un jet raté !
Conceptualisation - Embrassez vos erreurs, ça rajoute du piquant à l'histoire.
Did' - Au final, j'ai vraiment eu l'impression de jouer à un jeu de rôle sur table, comme jamais auparavant dans un jeu-vidéo.
Autorité - Jouez à ce jeu, 10/10, must play !
Posted 30 November, 2020.
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5.1 hrs on record
Splasher est un jeu de plateformes dans lequel on possède une buse qui peut projeter 3 liquides :
De l'eau, pour tuer les ennemis faibles et nettoyer du gel au sol ou sur un mur ;
Du gel collant, que l'on peut mettre sur les murs ou plafonds pour s'y coller ;
Du gel rebondissant, que l'on peut mettre au sol ou sur les murs pour rebondir loin.

Et ça marche super bien, le jeu est très fluide, très rapide, on s'arrête jamais et le level design est bien pensé pour du speedrun, c'est bien agréable à jouer.
On sent plein d'inspirations dans ce titre. Déjà, Rayman Origins et Rayman Legends, et c'est le plus évident sachant que le monsieur vient d'Ubisoft Montpellier, où ont été produits ces deux chefs d'œuvres. Le jeu est découpé en plusieurs niveaux, avec un petit hub, et dans chaque niveau il faut récupérer 700 trucs dorés (des Lums ?), ainsi que libérer 6 personnages (des Electoons ?) sur la route. Et aussi comme dans Donkey Kong Country Returns, le jeu peut toujours être fait à fond, pas besoin de ralentir (ou rarement). Quand on ne s'arrête pas, on voit que chaque plateforme, chaque ennemi a été placé ici pour continuer la course, pour construire un rythme.
Pour la physique du personnage, le développeur s'est plutôt inspiré de Super Meat Boy. Le Splasher a une accélération courte mais qui est quand même là, et est très flottant une fois dans l'air.
On peut aussi noter des influences de Oddworld, l'Odyssée d'Abe, dans l'histoire assez similaire, mais aussi avec des références comme les autres personnages à libérer et des panneaux LEDs déroulants donnant des informations sur le niveau ou ce qui se passe.

Le seul hic de ce jeu, c'est qu'il n'est pas vraiment difficile de trouver tous les secrets dans les niveaux. J'ai tout trouvé dès mon premier passage dans chaque niveau, sans trop chercher. Tout est là, à portée de vue. C'était beaucoup mieux caché dans Donkey Kong Country Returns ou les derniers Raymans.

Globalement, c'est solide, ça tourne bien, c'est bien réalisé, y'a des petites cinématiques vite fait, c'est du bon boulot. Très proche d'un Rayman, mais son système à 3 fluides est vachement bien pensé, et il faut savoir switcher entre les trois rapidement dans certains passages.
Posted 28 September, 2020.
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10.9 hrs on record
Dans les jeux, qu'ils soient vidéo ou de plateau, le genre "enquête" m'a toujours laissé un peu froid et sur ma faim, notamment car un jeu ne peut pas prévoir tous les embranchements et dialogues pour chaque choix fait par le joueur. Il le guide donc ou l'empêche d'aller vers certaines voies. C'est ainsi que dans L.A. Noire, on ne peut pas vraiment poser les questions que l'on veut au suspect, sous peine de devoir écrire des milliers de dialogues "inutiles". Les dialogues proposés vont donc aiguiller le joueur vers une partie des possibles, ce qui peut gâcher le plaisir de résoudre soi-même un mystère.

C'est ainsi résigné du genre que j'ai découvert Return of the Obra Dinn, un jeu où l'on se rend sur un bateau perdu en mer, dont l'équipage de 50 personnes a disparu. Muni d'une boussole permettant de revivre les dernières secondes de vie de chaque cadavre que l'on retrouve, notre but est de comprendre ce qui s'est passé, en assignant à chaque cadavre son identité, mais également la raison de sa mort, ainsi que la personne qui l'a tué.

Et c'est ici que Obra Dinn distance tous les autres jeux d'enquête auxquels j'ai pu jouer. Pas de centaines de dialogues à écrire ici pour prévoir chaque éventualité. Pour chaque personnage, on a juste trois exhaustives listes de noms et de causes de décès, et c'est au joueur de comprendre ce qui s'est passé, réellement. La combinatoire est telle qu'il est souvent impensable de tenter de répondre au hasard, et il faut vraiment chercher des indices dans les scènes pour résoudre le mystère.

Néanmoins, le jeu ne laisse pas le joueur en galère, et à chaque fois qu'il aura un triplet de pirates correctement résolus (donc 9 réponses à avoir correctement), le jeu les validera, permettant de ne pas avoir à douter sans cesse sur les mêmes choses et avancer.

Pour enrober le tout, on est dans un style graphique très spécial, unique à ce jeu, qui rend hommage aux vieux PCs des années 80. Un style qui ne laissera personne de marbre probablement. J'ai personnellement bien aimé, ça rend le jeu d'autant plus unique. La bande sonore qui accompagne le jeu est aussi unique, avec certains instruments qu'on entend rarement dans ce contexte, telles que des cloches.

Et juste pour équilibrer un peu cette critique, les achievements sont inutiles, et au contraire il y a des anti-achievements, qui forcent à refaire tout le jeu une seconde fois, mais d'une manière inintéressante et qui tire en longueur.

Et le tout fait par un seul individu. Bravo Lucas Pope !
Posted 25 September, 2020.
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42.4 hrs on record (21.5 hrs at review time)
Oh my Science.

This game is amazing. The context, the environments, the physics, the story, the music, the graphical style, the level design, the game design, the freedom it gives. I loved everything.

This game lets you explore the world how you want it. The initial objective is very quickly attained: land on the Moon. Then, you are on your own and you can go anywhere you want, and whatever your decision, you'll find something of interest and learn something new. In any case, you'll always have to go back and forth between planets to understand how they work and unveil their mysteries.

Speaking of learning, it's the point of the game: to learn how it works, and what's the story behind it and its previous species. Everything is taught through the environment and text pieces from older civilizations. There are no upgrades or keys, only your knowledge will unlock new paths.

Technically speaking, it's amazing. The whole solar system is one physics simulation, constantly running, wherever you are, whatever you do. All planets, every physics objects, is following the same principal physics rules. Even the Moon has a small effect on the Planet it’s orbiting around, and can even make you jump higher if it's above your. I got some rare freezes here and there, but otherwise everything runs smoothly.

The world is satisfying to explore, times and times again, and I loved driving my ship and be able to land it anywhere I want. I left this solar system with the same feeling of awe I originally felt the first time I took off my native planet.

This is one of the 10 best games I've ever played in my entire life, and I've played quite a bunch, over 750 games. This game is why I continue to play daily, to be amazed when one of those inspiring experiences pop up.
Posted 27 July, 2020.
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3 people found this review helpful
10.5 hrs on record
You’re a huge fan of Pinball, and played “3D Pinball Space Cadet” for hours and hours, but since Windows Vista you feel empty?
Oh, and you also love this kind of beetles that push dung balls around all day?
Wow, then, I just got THE game for you!

Yoku’s Island Express is about a bug pushing a ball around trying to save the island from a mischievous God. Although it can push the ball around, there are pinball paddles everywhere on the island, and a small tap on LT or RT will send the ball flying, dragging our small helpless Yoku through mazes. I really liked the idea of adding pinball mechanics inside a platformer game, it’s novative and creates interesting levels.

But it quickly can become boring, when some parts are too difficult and you just rage about why your ball is not going where you want to (but maybe that’s what pinball is all about?).
Nevertheless, the game can get especially boring when you have to go through an area again to find collectibles or just move to the next destination. Like in a Metroidvania, you gain different powers as you explore, but those are most of the time used to reach new zones, and don’t help much traversing old zones, so you often have to redo some parts over and over again while more shortcuts would have been appreciated.

There is a fast travel though. You can go to a beehive and be thrown from beehive to beehive until your destination, making some kind of zipline. It’s totally integrated inside the lore, and the bee music is amazing! But you can only get into these beehives from certain locations, and I feel there are too few of those spots. I spent a lot of time planning routes to the closest beehive, and ending pushing my ball longer than was really needed.

Nevertheless, this game’s really cute, the graphics are amazing, especially given the small size of the game studio. The music also adds a lot to the beautiful scenery the game offers.
(Oh, and the devs attached me to a huge boulder and put me on a big paddle, so I shouldn’t say too many bad things... Oh dung, I think they heard meeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee *)
Posted 29 March, 2019.
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2.8 hrs on record
You’re inside a room. Inside a painting, a doorway.
You enter a cupboard. You drag the painting on top of the cupboard.
You exit the doorway. You’re now in the painting.

Like Portal, this game asks you to think outside the box. The world does not work as usual, and you have to tame it to traverse it.
But this game often requires the player to click everywhere until something happens, like some point’n’click games, which can sometimes break the connection between the player and the world.

It is also very linear, but it’s by design, and the progression feels really natural, even though you travel through time and space in a never-seen-before way. The linearity however permits the telling of a good story, entirely told without words, and offers beautiful scenery to explore.

This game can be really clever at times, and is really beautiful. Some puzzles are really smart.
The only complaint I’d give is that there are not enough great puzzles. A lot of them are quite easy and do not require thinking ahead. I’d love to see a sequel with harder puzzles.

You’re reading a review. Inside, words claiming the elegance of a game.
You enter a round window. You drag the review on top of the window.
You exit through the letter O, this letter. You’re now in the review.
Posted 22 March, 2019.
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4 people found this review helpful
31.9 hrs on record
Full Metal Furies is an online 4-player cooperative brawler, offered by the developers of Rogue Legacy.

The game is really fun to play, each class is specific, so the players are not all just flying around an enemy to slash him. There’s one sniper (the best hero by far), and then three other furies that are less useful but still cool to have around sometimes when you need to be revived: a tank, a close-range damage dealer, and an engineer who always toys around with turrets. Ok, I have to admit, those furies rock too! :hugs:

Some enemies are protected by a barrier the color of a hero, and only this hero can damage it. This forces the players to move around the battlefield to quickly take care of their enemies, otherwise you quickly get overrun by enemies.

Some maps also give a specific challenge to the player, by bringing a specific mechanics for this level, like a stealth level, or one with a huge laser firing at regular interval on the screen, preventing players to be in a big part of the screen while the laser is fired.
Bosses have also a good design, and can require a lot of skill and teamwork to beat.

Oh, and there are hidden enigmas in the game. They’re so hidden developers said a lot of players didn’t see there were in the game. But they’re actually a big part of the game, and solving the puzzles with friends feels really good! We had a shared document with all the clues and enigmas, we wrote theories and possible solutions that we could try on the next game session. Some puzzles are way too complicated and there are too few indices, but overall, they were cool. Some are really clever and ask the players to think outside the box.

If you like to play with friends, I highly encourage you to play this one with them. This game is not well known because the developers didn’t publicize the game, hoping the success of Rogue Legacy would create the hype, but nope. Sad. Don’t do that, they tried for you.

Special Xoxo to my furies Bam, Gop & Lothy
Posted 8 March, 2019.
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