Deadman tarafından yazılan son incelemeler

Dire qu’il a fallu attendre que Rockstar décide de poster cette « édition complète » du jeu, comprenant GTA IV et les deux Episodes from Liberty City pour qu’il soit jouable. Je le possédais de base en CD, mais je n’ai jamais réussi à y jouer. Entre les erreurs directX, GamesForWindowsLive qui n’existe plus, l’impossibilité de faire vérifier la date sortie et les autres erreurs en tout genre, démarrer le jeu était presque impossible. J’ai vite abandonné sans m’attarder et préféré attendre GTA V. Que j’ai eu tort !

Pour avoir terminé San Andreas, celui-ci et GTA V, c’est de loin GTA IV que je préfère tant l’histoire est prenante, sombre et triste à la fois. Tout le jeu se base autour du scénario à tel point qu’il en devient presque une simulation de vie. Vous incarnez le personnage de Niko Bellic, immigré illégal serbe qui souhaite oublier son sombre passé. Motivé pour des raisons personnelles, mais aussi pour revoir son cousin, vous partez à Liberty City, ville qui incarne le rêve et l’idéal américain. Roman se ventait d’avoir réussi, d’être riche et d’avoir un harem de femmes chez lui. En arrivant, vous vous rendrez vite compte que tout cela n’est que mensonges. Roman est un joueur compulsif et croule sous les dettes. Pour l’aider et pour tenter de résoudre les soucis qui vous rongent de l’intérieur, vous allez enchaîner des petits boulots auprès de personnes pas toujours nettes…

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Contrairement à San Andreas qui était amusant et un peu n’importe quoi et GTA V qui n’est qu’une vaste blague, l’histoire de GTA IV est très sinistre. Cette impression se renforce au fil de l’histoire pour finalement faire entièrement partie du jeu. L’ambiance est renforcée par les graphismes sombres et peu colorés, les musiques peu joyeuses et par l’incroyable jeu d’acteur. Les personnages sont extrêmement développés et on s’y attache. On ressent la détresse intérieure de Niko et celle de Roman, qui malgré ses défauts et sa manière d’être est dans une détresse profonde et mal-être permanent.

La trame du jeu et le scénario sont bien ficelés. Les missions sont intéressantes et réalistes. Certains se plaignent des « missions de facteur » trop nombreuses qui consistent à rouler d’un point à un autre en véhicules, mais elles servent aux personnages pour discuter, laissant place à de longs dialogues ficelant encore mieux l’histoire et améliorant l’attache aux personnages.

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Je ne peux que vous recommander d’y jouer surtout si vous aimez les jeux dont l’histoire est bien écrite. Ce jeu est un chef-d’œuvre. Ceux qui le trouvent ennuyeux ou « pas amusant » ne l’ont tout simplement pas compris. Ce jeu n’a pas vocation à faire rire, mais à faire vivre la détresse d’un homme dépassé par les événements dans un monde froid et sans merci. La fin m’a personnellement donné mal au cœur tant je m’en suis voulu de ne pas avoir fait les bons choix. À bon entendeur.

Avec seulement 44 % d’évaluations positives depuis sa sortie, ce Just Cause est loin d’être le plus apprécié de la série. L’ajout massif de nouveautés et plusieurs changements radicaux dans le gameplay n’ont pas été très appréciés par la communauté. Mais quand est-il réellement ? En lisant les évaluations du jeu, il est difficile de se faire un avis objectif. Entre la mauvaise foi des uns et le fanatisme des autres, qu’en penser ? Pour faire simple et synthétiser, si vous n’aimez pas le changement et adorez Just Cause 2 et 3, il y a de fortes chances que vous n’aimiez pas ce quatrième épisode. A contrario, si vous aimez les nouveautés et les innovations, que les licences changent au fil du temps, alors peut-être que vous aimerez ce Just Cause 4. Pour ma part, je l’ai adoré, même si je dois lui reconnaître certains défauts.

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Tout d’abord, bien qu’une bonne partie du jeu ait été revisitée, l’histoire reste similaire et fidèle aux anciens volets de la saga : vous incarnez Rico Rodriguez, professionnel de la destruction pour renverser le dictateur d’une île nommée Solis. Cette fois-ci, ce sera au tour d’Oscar Espinosa d’y passer. Ce vilain personnage utilise des armes météorologiques pour gouverner et rester au pouvoir. Au centre de nombreux complots et magouilles envers son peuple, vous vous lierez avec les résistants locaux pour vous former une armée, l’armée du chaos pour l’empêcher à jamais de nuire.

Pour simplifier l’évaluation, vous retrouverez ci-dessous trois listes, une comportant les changements par rapport aux Just Cause précédents, une avec les points positifs du jeu et une autre avec les points négatifs du jeu.

Ce qui a changé par rapport à Just Cause 3 :

- Pour libérer une province, il n’est plus nécessaire de détruire à 100 % les infrastructures de celle-ci. Je pense que c’est surtout à cause de ce point que le jeu a mal été accueilli, car c’est ceci qui faisait l’essence même des Just Cause. Désormais, pour libérer une province du dictateur, il faut remplir votre barre de chaos pour gagner des points de troupes et ainsi faire avancer votre armée. Vous devrez aussi effectuer une mission contre la plus grosse infrastructure de la province, comme libérer des prisonniers, détruire des lanceurs de missiles ou désarmer des bombes.
- Pour déverrouiller les véhicules des liaisons rebelles, vous devrez faire des mini-missions sur la carte comme rouler dans un cercle avec un véhicule précis ou avec une certaine vitesse, faire des cascades en wing-suit, etc. Plus besoin de balises.
- Fini l’arbre de compétence. Cependant, en réalisant les mini-missions vous remplirez des jauges de points. Une fois celle-ci pleine vous pourrez débloquer des améliorations pour votre grappin.

Comme ses prédécesseurs, ce Just Cause regorge de points positifs :

- Les graphismes sont vraiment beaux, les paysages sont magnifiques et extrêmement variés en passant par les déserts avec leurs tempêtes de sable aux plaines avec des tornades ou par la jungle et les montagnes enneigées !
- La physique est réaliste et on peut l'exploiter pour jouer avec : les ponts peuvent s'écrouler, les trains peuvent dérailler et les grues peuvent tomber !
- Le gameplay est toujours aussi explosif et les explosions sont impressionnantes et très belles. La démesure et le n’importe quoi sont bien présents !
- La bande-son, comprenant le doublage, les musiques et les bruitages est excellente
- Les véhicules et les armes sont nombreux et variés
- La carte est gigantesque et variée et regorge d’activités certes similaires, mais sympas à faire
- Les personnages sont attachants
- Présence d’humour
- Les ennemis sont variés
- Les frontières entre provinces libérées et non libérées sont de vrais champs de guerre impressionnants
- Il est possible de personnaliser Rico et le grappin
- Les défis entre amis sont encore plus nombreux
- Les nouveautés côté grappin, offrant toujours plus de possibilités. On dispose cette fois de trois grappins changeables à tout moment, un rétractable, un avec des ballons à hélium et un avec des propulseurs. Il est possible de créer jusqu'à 10 liens de grappins en même temps !
- Il m'a fallu 25 heures pour terminer la trame principale du jeu

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Par contre, certains points sont vraiment négatifs et auraient pu être améliorés :

- Les ennemis en jeu sont bêtes à manger de la paille, entre ceux qui ne voient rien et ceux qui vous rentrent dedans avec leur hélicoptère (= mort assurée), vous êtes servi.
- Les missions sont répétitives. Je suis pourtant un bon client, mais toutes les missions sont des copiés-collés issus de la même base : sauver des prisonniers, escorter quelqu'un ou quelque chose, couvrir quelqu'un, protéger un objet, activer des disjoncteurs et faire exploser des turbines.
- Les phénomènes météorologiques sont certes vraiment sympas et amusants, mais ils ne sont pas exploités à leurs pleins potentiels. Les tornades font envoler les voitures, mais seulement dans un périmètre de cinq mètres, ce qui est dommage. Rien d’incroyable. Les autres phénomènes sont assez moyens. La foudre est ennuyeuse en mission et pas drôle, un zappe et vous êtes quasiment mort. Les tempêtes de sable sont assez neutres, vous ne voyez juste pas grand-chose et le parachute part dans tous les sens.
- Les mouvements des lèvres des personnages ne sont pas synchronisés avec le doublage français durant les cinématiques
- Dans certaines régions de la carte, on retrouve constamment les mêmes véhicules. Par exemple, vous trouverez essentiellement des buggys et 4x4 dans le désert. Bonjour la diversité...
- Les touches assignées par défaut sont vraiment bizarres et peu intuitives

Malgré ça, ce Just Cause a été une bonne surprise. Je ne m’attendais pas à autant l’aimer au vu de la notation qu'il a. La prise en main est un peu difficile. Elle va changer les habitudes que vous aviez acquises sur les Just Cause précédents. Le jeu diffère beaucoup de ses prédécesseurs par ses mécaniques, mais l’âme de la saga est bien là. On s’amuse, on casse tout, on explore. Les paysages sont vraiment magnifiques, c’est un plaisir de jouer. Je vous le recommande donc sans hésiter. En toute honnêteté, je comprends pourquoi tant de joueurs ont moins apprécié cet opus, mais au point qu’il ait une aussi mauvaise note je ne comprends pas. C’est de la mauvaise foi. Je ne vois que ça. Ce Just Cause mérite plus !

Merci d’avoir lu cette évaluation. Si vous souhaitez connaître mon avis sur les DLC, rendez-vous sur mon profil Steam : en cliquant sur « évaluations » à droite, vous trouverez les évaluations les concernant.

Hue est un jeu indépendant en 2D de plates-formes/casse-têtes qui joue sur les couleurs. Vous incarnez le petit Hue qui vit dans un monde en noir et blanc. Sa mère était une chercheuse sur la couleur et elle inventa un anneau chromatique permettant de les contrôler. Malheureusement, tout ne se passa pas comme prévu et elle finit par disparaître. Vous partirez à la recherche des fragments de cet anneau pour la retrouver. Chaque fragment trouvé vous permettra de contrôler une nouvelle couleur. Les mécaniques de jeux sont bien amenées et les énigmes se corsent au fur et à mesure du jeu, mais rien d’insurmontable. Il faut environ six heures pour terminer la trame principale et peut-être deux heures de plus pour récupérer tous les collectibles. L’atout majeur du jeu ne réside non pas dans le gameplay qui est certes très bon et original, mais surtout dans la direction artistique qui est tout simplement excellente. Les graphismes bien que très simples sont très beaux, les musiques sont vraiment très belles et l’histoire est à la fois intéressante et touchante. C’est donc sans hésitation que je vous recommande ce jeu, que vous soyez friands d’énigmes ou non !

Malgré une direction artistique vraiment bien fichue (que ce soit graphiquement ou au niveau musical), Framed reste peu intéressant et lassant. Le principe du jeu est simple : vous devez faire échapper deux individus de la police dans une bande dessinée. Pour ce faire, vous avez la possibilité de déplacer des planches ou de les faire tourner. Je n'ai pour ma part vraiment pas aimé, le jeu est répétitif et la difficulté est parfois exagérée dans l'ordre des planches, surtout à un certain niveau du jeu où on doit en déplacer pendant que notre personnage se déplace. Certaines planches ne sont pas logiques entre elles et sans recommencer plusieurs fois une même page on n'y arrive généralement pas du premier coup. C'est dommage. Je n'irai pas jusqu'au bout.

Tiré de l'univers du roman de science-fiction « 1984 » de l'auteur britannique au nom éponyme du jeu, Orwell est un jeu narratif textuel dans lequel vous incarnez un détective qui doit mettre fin à une série d’attentats et arrêter les coupables.
Pour cela, vous avez accès à un système fraîchement développé nommé Orwell qui vous permet d’espionner et de fouiner dans la vie des citoyens, en piratant leur ordinateur ou en écoutant leurs conversations par exemple.

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Dès que vous apprenez quelque chose de nouveau, vous pouvez choisir de déplacer l’information dans Orwell ou non, influençant le cours de l’histoire.
Le jeu se veut posé et assez calme : c’est à vous de lire des pages internet, des conversations, de mettre en lien des éléments même si le jeu vous surligne les éléments-clefs.

La musique joue bien son rôle lors d’une découverte hors pair ou lors d’un rebondissement en devenant anxiogène. Malgré son gameplay atypique et répétitif, l’histoire reste captivante et intéressante à suivre tout en faisant réfléchir à la surveillance de masse et à la sécurité de vos données personnelles.

Pour toutes ces raisons, je vous le recommande sans hésiter et j’attends avec impatience la traduction en français du second pour m’y lancer !

Comprend les trois plus gros DLC du jeu, c'est-à-dire les DLC "Bavarium Sea Heist", "Sky Fortress" et "Mech Land Assault" ajoutant donc de nombreuses missions, de nombreux défis, de nombreux véhicules, de nombreuses armes, mais surtout beaucoup de destructions et de délires ! Je recommande sans hésiter !

Ajoute un robot pilotable surpuissant. En toute honnêteté je ne comprends pas bien pourquoi ce DLC n'est pas inclus directement dans le pack Meca... M'enfin quoi qu'il en soit, avec celui-ci vous pouvez faire tomber une base militaire sans problème !

Ce DLC ajoute une nouvelle région dans les airs qui n'est rien d'autre qu'un héliporteur géant ! Ajoute aussi des missions, des défis, des armes, mais surtout une nouvelle wing-suit avec un turbo qui se recharge ! Très amusant à jouer et surtout très pratique, vous pouvez rester dans les airs indéfiniment !

Un DLC qui ajoute près de trois heures de jeu et que je considère de loin comme le meilleur ! Il ajoute une nouvelle région sur la carte à libérer, de nouveaux défis et des robots destructeurs surpuissants ! Vraiment très amusant à jouer ! Les bases militaires ne tiennent généralement pas longtemps ! Je vous recommande ce DLC sans hésiter !

Correspond au DLC "Minigun Racing Boat" mais en version terrestre. Le buggy est très maniable, mais malheureusement inutile en jeu quand on peut conduire des blindés... Ne vaut pas ses 2€, je vous conseille plutôt de vous diriger vers le Season Pass, plus rentable pour son prix.