Install Steam
login
|
language
简体中文 (Simplified Chinese)
繁體中文 (Traditional Chinese)
日本語 (Japanese)
한국어 (Korean)
ไทย (Thai)
Български (Bulgarian)
Čeština (Czech)
Dansk (Danish)
Deutsch (German)
Español - España (Spanish - Spain)
Español - Latinoamérica (Spanish - Latin America)
Ελληνικά (Greek)
Français (French)
Italiano (Italian)
Bahasa Indonesia (Indonesian)
Magyar (Hungarian)
Nederlands (Dutch)
Norsk (Norwegian)
Polski (Polish)
Português (Portuguese - Portugal)
Português - Brasil (Portuguese - Brazil)
Română (Romanian)
Русский (Russian)
Suomi (Finnish)
Svenska (Swedish)
Türkçe (Turkish)
Tiếng Việt (Vietnamese)
Українська (Ukrainian)
Report a translation problem
Cette vogue est paradoxale puisqu'elle ne s'explique ni par un sens argotique ni par une valeur iconique préexistants de la poire. Il s'agit au contraire d'une création graphique souvent attribuée, à tort, à Honoré Daumier, alors qu'elle a été revendiquée par Charles Philipon et exploitée pour la première fois en novembre 1831, lors d'un procès ayant pour enjeu l'exercice de la liberté de la presse, que le gouvernement avait reconnue au terme des Trois Glorieuses mais qu'il rechignait à respecter.