Un jour, j'étais en train de marcher dans la rue quand j'ai aperçu un goéland qui me demandait où il pouvait garer sa Lamborghini Aventador avec essieu arrière abaissé. Moi, n'ayant pas le permis d'indication, je lui fais signe qu'une place de parking vient de se libérer en Roumanie. Monsieur Goéland, n'étant pas habitué à ce genre de manœuvre, me demande si je peux l'aider à lever la voiture afin de faire passer une famille de tricératops qui passait par là. Ni une ni deux, je me suis mis à l'ouvrage et décide, à l'aide de ma lampe de poche, de projeter mon ombre à côté de la famille de tricératops afin de les aider durant leur périlleuse aventure. Le lendemain, je suis revenu au niveau de la boutique qui vend des t-shirts en forme de banane et j'ai demandé à un passant de me prêter 1 euro. Celui-ci accepte gentiment mais je vois du doute dans son regard ; en guise de réaction, je décide de le prendre en consultation pour une séance de kiné. Malheureusement, je n'ai pas les compétences adéquates pour prendre en suplex cette personne susmentionnée. « Je n'ai qu'un diplôme qui permet de masser des hippopotames à dos droits », lui expliquai-je tout en mettant hors d'état de nuire une fourmi qui passait non loin de là


Pour information :
Je cherche une brosse à cheveux cassée, un pin's rose avec écrit « J'aime les pirates... mais pas trop », et un sandwich dont la bordure extérieure du pain de mie a été entamée par une personne qui l'a sorti dans le seul but de nourrir un hippopotame en hypoglycémie. De plus, je cherche un emploi dans le soulèvement de loups à poil orange du côté de Céret.

Je fais 1,85 m de hauteur et un peu plus si je m'assois







































































































































































































































































































































































































































































































































































































Bite !
"vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi, si je devais résumer ma vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres. Des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée… Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face je dirais, le miroir qui vous aide à avancer. Alors ça n’est pas mon cas, comme je disais là, puisque moi au contraire, j’ai pu : et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie… je ne suis qu’amour ! Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent « Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? », et bien je leur réponds très simplement, je leur dis que c’est ce goût de l’amour ce goût donc qui m’a poussé aujourd’hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain qui sait ? Peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi…"