DBZ Kakarot m'a fait l'effet d'une madeleine de Proust. Grâce à ce jeu, j'ai pu revivre en accéléré tout un pan de mon enfance, ces matinées où j'attendais avec impatience l'épisode de Dragon Ball Z qui nous délivrait enfin de l'abominable générique d'Ariane et des interminables pitreries des animateurs du Club Dorothée. Et avec DBZ Kakarot, j'ai en plus pu profiter de la fin de l'animé sans que Ségolène Royal n'intervienne pour arrêter les choses en plein combat final contre Boo, alors même que Vegeto était sur toutes les lèvres à la récré...

Que vous connaissiez de près ou de loin l'univers de DBZ, vous allez en avoir pour votre argent. Kakarot est un jeu riche en contenu qui devrait vous occuper près d'une quarantaine d'heures pour voir le bout de l'histoire principale, bien plus si vous souhaitez tout débloquer/récolter ou faire le tour des histoires secondaires malheureusement assez rudimentaires.

Mais surtout, DBZ Kakarot offre le plaisir grisant d'une jouabilité simple mais efficace, pour que vous puissiez balancer des Kaméhaméhas instinctivement en incarnant la majorité des personnages cultes du manga, et ce au travers de combats accessibles, dynamiques, fluides, aux animations réussies et jouissives.

Si l'œuvre d'Akira Toriyama vous parle plus ou moins, n'hésitez pas, a fortiori quand le jeu est proposé en promo à 15€. D'ailleurs, 3 ans après sa sortie, DBZ Kakarot continue à recevoir du contenu : c'est la preuve de sa popularité comme de ses qualités.

J'ai quand même trois reproches à faire :
- Les environnements : globalement, c'est assez pauvre, voire même carrément basique. Mais après, vous n'êtes pas vraiment là pour contempler le paysage... plutôt pour le détruire.
- Les options graphiques : les FPS sont bloqués à 60 et il est impossible d'aller au-delà du 16/9. On peut au moins passer la résolution à 200% pour profiter de dessins plus fins, ça aide à oublier les bandes noires sur les côtés.
- La gestion du clavier/souris : on ne peut pas tout configurer comme on l'entend, ce qui rend la manette indispensable pour profiter du jeu pleinement.

DBZ Kakarot m'a fait l'effet d'une madeleine de Proust. Grâce à ce jeu, j'ai pu revivre en accéléré tout un pan de mon enfance, ces matinées où j'attendais avec impatience l'épisode de Dragon Ball Z qui nous délivrait enfin de l'abominable générique d'Ariane et des interminables pitreries des animateurs du Club Dorothée. Et avec DBZ Kakarot, j'ai en plus pu profiter de la fin de l'animé sans que Ségolène Royal n'intervienne pour arrêter les choses en plein combat final contre Boo, alors même que Vegeto était sur toutes les lèvres à la récré... Que vous connaissiez de près ou de loin l'univers de DBZ, vous allez en avoir pour votre argent. Kakarot est un jeu riche en contenu qui devrait vous occuper près d'une quarantaine d'heures pour voir le bout de l'histoire principale, bien plus si vous souhaitez tout débloquer/récolter ou faire le tour des histoires secondaires malheureusement assez rudimentaires. Mais surtout, DBZ Kakarot offre le plaisir grisant d'une jouabilité simple mais efficace, pour que vous puissiez balancer des Kaméhaméhas instinctivement en incarnant la majorité des personnages cultes du manga, et ce au travers de combats accessibles, dynamiques, fluides, aux animations réussies et jouissives. Si l'œuvre d'Akira Toriyama vous parle plus ou moins, n'hésitez pas, a fortiori quand le jeu est proposé en promo à 15€. D'ailleurs, 3 ans après sa sortie, DBZ Kakarot continue à recevoir du contenu : c'est la preuve de sa popularité comme de ses qualités. J'ai quand même trois reproches à faire : - Les environnements : globalement, c'est assez pauvre, voire même carrément basique. Mais après, vous n'êtes pas vraiment là pour contempler le paysage... plutôt pour le détruire. - Les options graphiques : les FPS sont bloqués à 60 et il est impossible d'aller au-delà du 16/9. On peut au moins passer la résolution à 200% pour profiter de dessins plus fins, ça aide à oublier les bandes noires sur les côtés. - La gestion du clavier/souris : on ne peut pas tout configurer comme on l'entend, ce qui rend la manette indispensable pour profiter du jeu pleinement.