120 heures passées sur ce jeu, le 100% atteint, et un sentiment terriblement mitigé qui a prévalu pendant la quasi totalité de ma partie. Car, en définitive, aussi joliment enrobée fusse-t-elle, l'expérience de jeu est restée désespérément creuse.

Du coup, je choisis la non recommandation pour ce Assasin's Creed Odyssey, tant il vrai que la première chose qui me soit venue à l'esprit après l'avoir terminé ne fut pas quelque chose du genre "C'était un excellent jeu et il va me manquer" mais plutôt "Nom de Zeus, me voilà enfin débarrassé !". Mal nommé, ce Assassin's Creed Odyssey aurait dû s'appeler Assassins's Creed Marathon tant il faut faire preuve d'abnégation et de résilience pour avancer dans cet univers dont l'histoire est aussi fade que la plastique superbe.

Car oui, le jeu propose des panoramas souvent somptueux que vous aurez loisir d'admirer grâce à un gameplay efficace et permissif offrant une véritable liberté de mouvements. Et s'il dispose également d'une réalisation léchée teintée de quelques notes de musique réussies, cet enrobage masque maladroitement une IA aux fraises, des mécaniques sempiternellement recyclées et la constante et surtout déplaisante sensation de toujours faire la même chose. Pour faire simple, toutes les quêtes peuvent se résumer par : "va ici, tue ça, reviens, recommence".

Le joueur incarne un mercenaire assassin. Plus précisément, une machine de guerre à louer qui passe ainsi son temps à tuer tout ce qui bouge, tout le temps, pour le compte de n'importe qui, sur fond de n'importe quoi. Heureusement, il est possible de zapper les dialogues et c'est même recommandé puisqu'ils ne changent en rien la trajectoire générale de l'histoire.

Je dirais que cet opus n'est à réserver qu'à ceux qui n'accordent aucune espèce d'importance aux quêtes secondaires, qui ne seront pas très regardants vis-à-vis du scénario (voire pas du tout), qui veulent un jeu sans once de réflexion et qui surtout omettent facilement tous les défauts d'un titre pourvu qu'il soit esthétiquement réussi.

120 heures passées sur ce jeu, le 100% atteint, et un sentiment terriblement mitigé qui a prévalu pendant la quasi totalité de ma partie. Car, en définitive, aussi joliment enrobée fusse-t-elle, l'expérience de jeu est restée désespérément creuse. Du coup, je choisis la non recommandation pour ce Assasin's Creed Odyssey, tant il vrai que la première chose qui me soit venue à l'esprit après l'avoir terminé ne fut pas quelque chose du genre "[i]C'était un excellent jeu et il va me manquer[/i]" mais plutôt "[i]Nom de Zeus, me voilà enfin débarrassé ![/i]". Mal nommé, ce Assassin's Creed Odyssey aurait dû s'appeler Assassins's Creed Marathon tant il faut faire preuve d'abnégation et de résilience pour avancer dans cet univers dont l'histoire est aussi fade que la plastique superbe. Car oui, le jeu propose des panoramas souvent somptueux que vous aurez loisir d'admirer grâce à un [i]gameplay[/i] efficace et permissif offrant une véritable liberté de mouvements. Et s'il dispose également d'une réalisation léchée teintée de quelques notes de musique réussies, cet enrobage masque maladroitement une IA aux fraises, des mécaniques sempiternellement recyclées et la constante et surtout déplaisante sensation de toujours faire la même chose. Pour faire simple, toutes les quêtes peuvent se résumer par : "[b]va ici, tue ça, reviens, recommence[/b]". Le joueur incarne un mercenaire assassin. Plus précisément, une machine de guerre à louer qui passe ainsi son temps à tuer tout ce qui bouge, tout le temps, pour le compte de n'importe qui, sur fond de n'importe quoi. Heureusement, il est possible de zapper les dialogues et c'est même recommandé puisqu'ils ne changent en rien la trajectoire générale de l'histoire. Je dirais que cet opus n'est à réserver qu'à ceux qui n'accordent aucune espèce d'importance aux quêtes secondaires, qui ne seront pas très regardants vis-à-vis du scénario (voire pas du tout), qui veulent un jeu sans once de réflexion et qui surtout omettent facilement tous les défauts d'un titre pourvu qu'il soit esthétiquement réussi.